Test - Compte-rendu 7 février 2019 Archives McCord

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Date

2019-02-07

Titre

Test - Compte-rendu 7 février 2019 Archives McCord

Créateur

SMEL

Sujet

Compte rendu de la cinquième séance de fouille archivistique dans la collection Houdini du catalogue du musée McCord à Montréal.

contenu

Lors de la séance de recherche en archive du 7 février, nous avons poursuivi le travail de lecture et d’annotation autour de la série de livre et d’ouvrages écrit sur et/ou par Houdini que nous avions entamé la semaine précédente. Aussi, nous avons demandé de consulter une série de quatre articles sur les mécaniques de la pratique d’Houdini rédigé par R.D. Adams.

Julie-Michèle s’est plongée dans la lecture et l’analyse des articles de R.D. Adams. Ceux-ci constituent une série, publiée en 1929 par la revue Modern Mechanic and Inventions, qui vise à progressivement dévoiler concrètement la mécanique qui régit certains trucs d’Houdini.  R.D. Adams en est l’auteur, mais il est surtout un ancien gymnaste qui a performé pendant des années dans des spectacles de vaudeville jusqu’à ce qu’il subisse une blessure. À la suite de son accident, Adams a mit sur pied un workshop qui se chargeait de la manufacture d’objet spécialement conçu pour le spectacle d’illusion (trick bicycles, magic cabinets, plusieurs spécialités mécaniques spécialement désignées pour la scène). Adams a développé pendant près d’un quart de siècle des accessoires de scène pour Houdini et à travers cette série d’articles, il veut dévoiler des faits qui n’ont « jamais été révélés auparavant ».

L’article qui lance la série s’intitule Lifting the curtain : The Mechanic Who Made Houdini’s Trick Magic Apparatus et a été publié en octobre 1929. La note des éditeurs mentionne à quel point il est fascinant de constater l’absurde simplicité de la très grande majorité des trucs de magie :

« But in magic, as in every branch of knowledge, oftentimes the most confusing and puzzling things are simple to the point of absurdity once the mystery which shrouds them has been swept away » - The Editors, 1929.

Remarque : Houdini tient le même discours dans ses propres ouvrages didactiques : il mentionne fréquemment que les tours sont d’une grande simplicité. Il s’agit simplement de les maîtriser techniquement et surtout de les mettre en scène, de développer son style, ses adresses au public, etc.

Questions soulevées : Ce paradoxe entre simplicité des trucs et ébahissement du public crée une ambiance particulière à la discipline de la magie : elle est fondée sur le mystère. Ce dernier s’incarne dans une forme de tension entre scène et salle, tension qui est elle même fondée sur le fait qu’on ne sait pas, tout en sachant que ce qu’on ne sait pas est possiblement très simple. C’est peut-être cela qui est difficile à accepter pour le public et qui crée des tensions dans la réception des tricks : la simplicité de ce qui nous échappe.

Au tout début de son article, Adams nous explique que Houdini aurait été un « terrible danger pour la société » s’il avait choisit la criminalité plutôt que la scène et il souligne l’intégrité du magicien. Cette intégrité se remarque aussi dans son travail de spook exposure et dans sa manière de toujours vouloir prouver que ses trucs étaient techniquement fondé et qu’il n’était pas un spirite. Adams poursuit sur cette idée d’intégrité en mentionnant que Houdini mentionnait souvent à son public que ses trucs n’avait rien de surnaturel : « I am spoofing you, please don’t take me too seriously ». Malgré sa franchise et sa transparence, plusieurs de ses détracteurs étaient persuadés que Houdini était possédé par des pouvoirs spirites sans qu’il le sache lui-même. Parmi eux, on compte : Sir Conan Doyle et Sir Oliver Lodge. Le grand paradoxe qui a animé la pratique d’Houdini est le suivant: toute sa vie il s’est attardé à prouver que les spirites n’existaient pas et on a longtemps targué Houdini d’être lui-même un spirite. Toutefois, il ne pouvait pas dévoiler toute la technicité derrière la réalisation de ses trucs afin de démentir les accusations dont il était la cible sans y laisser sa carrière…

Adams nous dévoile donc une série de trucs réalisé par Houdini au fil de sa carrière, mais il nous mentionne aussi que le magicien devait physiquement s’entraîner. Houdini était (et devait l’être pour mener à bien ses trucs) un excellent contorsionniste, il pouvait retenir son souffle sous l’eau pendant plusieurs minutes et il était un fin connaisseur de toutes formes de menottes. Il a d’ailleurs travaillé comme lockmaker dans le Wisconsin pendant sa jeunesse: il y a appri à reconnaître les cadenas en un coup d’oeil.

Dévoilement du truc de « démenottage » :

Adams nous mentionne rapidement que Houdini avait les avant-bras très musclés. Houdini demandait au public si l’un d’entre eux, ou plusieurs personnes, détenait des menottes qui permettrait la réalisation du tour de « démenottage ». Le magicien cachait cinq à six paires de menottes dans la salle en utilisant des confederate (des complices incognito). Ensuite, plusieurs volontaires, réels membres du public, ajoutait leurs menottes au lot. Toutes les menottes étaients utilisés de manière à ce qu’il soit menotté jusqu’au coude. Toutefois, il s’assurait que les menottes de ses alliés soient placées en premier (plus près des poignets). Avec des doubles de clés minutieusement cachés dans son cabinet ou ailleurs sur lui ou sur scène, il les ouvrait en premier. Puis, il n’avait pas besoin d’ouvrir les menottes du public, tant ses avant-bras étaient musclés, il ne faisait que les glisser le long de ses bras et puis de ses mains. Il remettait ensuite au public leurs menottes, toujours fermées à clé.

Dévoilement du truc papier carbone :

Dévoilement du stunt où le public écrivait des questions sur du papier carbone et où la femme d’Houdini, « en transe » y répondait. À compléter.

Dans son second article, rédigé en décembre 1929 et dont le titre est le suivant : Houdini’s Mystifying : The Mechanic Who Made Houdini’s Trick Magic Apparatus (M2014.128.709.36), Adams nous explique encore deux trucs. En premier lieu, il nous explique comment Houdini parvenait à faire disparaître un éléphant sur scène.

The trick of the vanishing elephant :

Houdini plaçait un véritable éléphant sur scène, devant un rideau de scène bleu. Il tirait ensuite un coup de fusil dans les airs et au même moment s’élevait du sol un rideau de la couleur identique. Il s’élevait du bas vers le haut grâce à une mécanique à ressort que deux techniciens de scène activaient. Le coup de fusil avait tendance à surprendre les spectateurs qui clignaient potentiellement des yeux. Ou, même s’il restait à l’affût, le rideaux s’élevait tellement rapidement que personne n’avait le temps de le voir. Le public croyait qu’il y avait une gigantesque trappe sous la scène : mais voilà que le truc était beaucoup plus simple, il demandait simplement un mécanisme à ressort de haute qualité et fabriqué sur mesure.

Le truc de Keller :

Houdini a repris un truc notoire qui a été inventé par Keller, un autre magicien, mais pour le réaliser, il faut un technicien particulier.

Keller prenait une assistante à qui il bandait les yeux. Ensuite, il se promenait dans l’assistance et pointait certains objets présent dans la salle tout en demandant à l’assistante de les nommer, sans qu’elle puisse les voir. Et elle y parvenait. Enfin, il prenait une copie du journal du jour et déclamait : « Give the name, date and volume number » : l'assistante répondait hyper vite la bonne réponse. Ensuite, Keller demandait à un membre du public d’écrire sur un papier le numéro de série d’un piece of currency (un dollar ?). Il prenait ce numéro de série et demandait à ce qu’on le multiplie par 7453 et d’en extraire la racine carré. Il demandait à  des mathématiciens présent dans la salle de se mettre à la tâche avec papier et crayon, mais l’assistance en un éclair donnait la réponse ! Pendant ce temps, un nain, spécialisé en calcul mental (« he could extract the cube root of a number in 12 figures in a flash without paper or pencil »), était caché derrière les rideaux dans lesquels il y avait une toute petite fente, assez grand pour qu’il y glisse un télescope fabriqué sur mesure en Allemagne pour voir de loin les détails que pointait Keller. Il donnait la réponse à l’assistante en le chuchotant dans un tube d’air qui était discrètement attaché à la chaise sur laquelle était assise l’assistante.

The Aerial Suspension Mystery :

Il s’agit d’un truc d’origine Hindou, récupéré par Robert Houdin et ensuite par Houdini. Le performeur amène sur scène une planche de 5x2 et la place à six pouces du sol pour montrer qu’elle ne fait pas partie de la scène. Ensuite il place un stool et demande à une jeune femme de s’avancer, elle sera sujet une Hypnotic démonstration. Description à compléter.

Adams conclut ce second article en mentionnant que les trucs d’Houdini étaient tellement impressionnant que les gens étaient persuadés qu’il était doté de pouvoir surnaturel : « Such were the tricks which made Houdini the great master of his craft – so great that many refused and still refuse to believe he did not pose surnatural power. » p. 95 (compléter la citation)

Filip a continué le travail sur le live d’Houdini intitulé The Unmasking of Robert-Houdin.

Une attention particulière a été portée au truc “The orange tree trick”, décrit en détails dans le chapitre 2.

Ce que Houdini tente de faire tout au long de ce chapitre est de mettre en évidence que ce truc n’appartient pas à Robert-Houdin, comme il l’affirme, mais que tout une série de magiciens a déjà performé ce truc. En particulier, Houdini se réfère au programme du 1730 (soit 115 ans avant que Robert-Houdin le revendique comme le sien) où un truc similaire a été présenté par Christopher Pinchbeck. Houdini écrit à la page 8 :

“My investigations brought forth only bitterest disappointment and saddest of disillusionment. Stripped of his self-woven veil of romance, Robert-Houdin stood forth, in the uncompromising light of cold historical facts, a mere pretender, a man who waxed great on the brainwork of others, a mechanician who had boldly filched the inventions of the master craftsmen among his predecessors.”

Ensuite, Houdini revendique que les magiciens Fawkes, Pinchbeck, Pinetti, Cornillot ont également performé ce truc avant Robert-Houdin.

Houdini écrit :

“Now to prove that the tree tricks offered by Fawkes, Pinchbeck, Pinetti, Cornillot and Robert-Houdin were practically one and the same, and to tell something of the history of the four magicians who featured the trick before Robert-Houdin had been heard of. Unquestionably, the real inventor of the mysterious tree was Christopher Pinchbeck, who was England’s leading mechanical genius at the close of seventeenth century and the beginning of the eighteenth.”

07.02.2019 – Suivi du travail sur le livre d’Houdini

Houdini note que Robert-Houdin note dans son autobiographie que c’est lui-même qui a inventé les trucs suivants : The Orange Tree, Second Sight, Suspension, The Cabalistic Clock, The Inexhaustible Bottle, The Pastry Cook of the Palais Royal, The Vaulting Trapeze Automaton, The Writing and Drawing Figure. Le but, selon Houdini est de démontrer dans son livre à quel point tout cela est faut et comment ce n’était pas lui qui a inventé tous ces trucs là.

Dans le chapitre II Houdini décrit le truc « orange tree » dans les détails.

Il affirme que le truc intitulé « The Apple Tree » qui est similaire existait déjà dans en programme du 1730. Cela était 115 ans avant que Robert-Houdin le revendique comme le sien. Ensuite, Houdini détaille que Christopher Pinchbeck a été le premier à faire ce truc, et puis Pinetti, Cornillot et les autres. Cependant, Houdini dans son livre n’offre pas les arguments pouvant prouver que les trucs que ces magiciens performaient étaient en effet les mêmes. Aussi, du point de vue de l’archive, chaque fois lorsque Houdini présente les mezzotintes (procédé de reproduction graphique par gravure teintée) de ces collègues magiciens, par exemple, Pinchbeck il n’existe pas à ajouter comme quoi il s’agit de mezzotintes qui sont « très rares ». Ces mezzontintes ne sont pas rares, on les trouve dans des sources différentes. En même temps, à plusieurs reprises, Houdini cite les œuvres de Houdin-Robert ainsi que de Christopher Pinchbeck mais ne note jamais le titre du livre et les pages de ses sources. Par exemple, à la page 58 du livre il marque seulement « biographical sketch » de Christopher Pinchbeck mais ne note nulle part de quelle biographie il s’agit. Donc, les sources que Houdini utilise sont difficiles à prouver-trouver. Un autre exemple. Houdini note que le nom de Pinchbeck apparaît pour la première fois dans le « London directory » du 1778. Cependant, Houdini n’offre pas l’explication de quel « directory » s’agit-il.

Tout au long du chapitre il n’hésite pas de rappeler le lecteur comme quoi les mezzotintes de Christopher Pinchbeck et de son fils sont « extrêmement rares » et comme quoi Houdini avait tellement de chance de les sauver et que c’est un point décisif pour toute histoire de la magie.

Concernant la légitimité et l’originalité des trucs de Robert-Houdin, il est vrai que le livre d’Houdini démontre qu’en 1732 il existait déjà un truc qui porte sur les fleurs en train de pousser de pot à fleurs (performé par Fawkes). Mais le truc « The orange tree » de Robert-Houdin ne consistait pas uniquement d’une fleur en train d’émerger dans une vase. En effet, ces fleurs en train de pousser ne représente que la première partie de truc de Robert-Houdin. La deuxième moitié de truc comporte également un mouchoir qui se transforme en orange perché sur un arbre. Deux papillons sont également présents, chacun portant le mouchoir d’un côté. Donc, il est vrai on trouve des traces du truc de Robert -Houdin dans l’histoire de la magie, mais il ne s’agit que de morceaux différents de truc et non pas de truc repris en intégralité.

C’est la même chose avec les autres magiciens. Houdini soutient que Pinetti performait « the orange tree » truc avant Robert-Houdin, mais c’est la même affaire comme avec Fawkes. De plus, la première moitié de truc de Pinetti diffère de la première moitié de truc de Robert-Houdin. Au début, Pinetti jette des gouttes d’eau vers les feuilles qui se transforment ensuite en fleurs. (voir pages 69-71 du livre d’Houdini), tandis que le truc de Robert-Houdin comprenait la manifestation des oranges sur un arbre. Les trucs sont donc similaires mais pas les mêmes et surtout pas repris par Robert-Houdin comme le revendique Houdini. En plus, la deuxième moitié de truc de Robert-Houdin, avec le mouchoir et les papillons, est inexistante chez Pinetti. Or, visiblement on est dans une optique de remédiation. Certains aspects ou détails, isolés du contexte, font écho à d’autres trucs performés auparavant. Cependant, le truc de Robert-Houdin n’est ni repris ni plagié. Par processus de remédiation de magicalité tout un autre truc est créé, que Robert-Houdin à juste titre revendique comme le sien.

Jusqu’à la fin de chapitre Houdini exprimera son admiration inconditionnelle envers Pinetti et continuera à critiquer et à remettre en cause Robert-Houdin.

La critique la plus forte d’Houdini envers Robert-Houdin est dans le dernier chapitre où il écrit à propos des « mémoires » de Robert-Hodin. Houdini soutient que les descriptions dans les « mémoires » de Robert-Houdin sont partielles, superficielles et mal écrits.  En outre, il désigne Robert-Houdin en tant que « jaloux », sans talent et égoïste.

Charlotte a commencé la lecture du livre de Houdini: Houdini’s paper magic, the whole art of performing with paper including paper tearing, paper folding and paper puzzles, 2e édition, 1922.

Dès l’intro: exemple papier qui servira à illustrer le truc des pages 163-166

The traveling paper balls p. 3-7

La description même du truc continent un dévoilement, une mise en scène: la première description ne nous laisse pas savoir comment le réaliser même si le texte est écrit à l'impératif. La section Explication reprend le truc en dévoilant les détails de sa réalisation. Même  à la lecture, nous sommes en premier lieu de spectateurs, novices.

p. 7: “The rest of the trick is merely conversation”

Ring and program p. 8-12

Bref aperçu historique du tour: créateurs et variantes.

p. 9 exemples précis d’interactions avec le public

p. 11: “this sounds rather difficult, but a little practice will make the move absolutely invisible”

The cigarette paper tear p. 13-19

Toute l’introduction du truc à la page 13 est intéressante pour sa dimension historique.

Houdini a l’autorisation de Harry Killer pour expliquer le truc #communautémagique

p 13: “Standing very high in the aristocracy - one might even say the royalty- of pocket tricks, is our old friend the cigarette trick”

Chaque magicien apporte sa touche au même truc.

Le truc peut être répété devant le public pour le dévoiler, mais en fait il s’agit d’un deuxième truc. Le dévoilement ne fait que multiplier le mystère. p. 14: “the mystery of the restoration was greatly enhanced by the slow and deliberate manner in which it was presented”

p. 15: “I usually have a number of papers thus folded in my pocket so that I am always prepared for the trick”

p. 16-17: explications du faux dévoilement

p. 18-19: mise en scène d’une erreur dans le (faux) dévoilement du truc au public pour que finalement elle fasse partie intégrante du truc et montre au public que celui-ci n’a en fait rien compris. Le dévoilement est faux, le truc est maîtrisé

The torn paper ribbon p.20-23

truc de Ching Ling Fou

Contient également un faux dévoilement.

Explications de plusieurs méthodes pour cacher le ruban: un (ou deux) faux pouce, une poche à l’avant du manteau et un fil attaché au ruban, le cacher en dessous du pied.

Le faux dévoilement renforce le truc: le public croit que le magicien ne peut pas faire autant de préparation, prévoir autant de détails, pour un seul truc.

The spirit communication p. 37-39

Tour particulièrement intéressant pour sa mise en scène: fait croire à la participation d’esprit. Contre les valeurs d’Houdini ? Comment le placer dans la chronologie de l’évolution de sa pensée par rapport aux esprits et aux charlatans ?

The chameleon confetti p.43-48

Intéressant car Houdini dévoile plusieurs méthodes pour réaliser le même tour. Contient des dessins explicatifs avec des boîtes à double fond.

Watered confetti p.54-56

Reprise d’un tour ancien (avec du sable) mais de façon moderne (avec du papier).

La méthode de réalisation du tour est extrêmement précise et nécessite beaucoup d’équipement, dont des matériaux spécifiques (coquilles d’oeufs, ciment hydrofuge, plâtre de Paris, teinture, parafine, lycopodium).

The floating ball p.57-60

“This is an excellent little illusion and one that will prove the quality of the performer’s showmanship. If given an artistic presentation, it always makes a decided impression; if not so presented, it is flat and colorless”.

notes:

Chercher le livre d’Houdini The Right Way to do Wrong

Houdini note rarement la difficulté de ses tours. 

Question: qu’est-ce que de la cire de magicien (magician’s wax)?

Question: quand est-ce que Houdini s’est mis à faire de la magie de performance plutôt que de la magie de table? Son iconographie, ou ce qu’on en retient, est axée sur la performance. Pourtant il a écrit plusieurs livres sur la magie de table? A-t-il toujours fait les deux types de tours? A-t-il délaissé l’un pour l’autre à un moment dans sa carrière?

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